Les intervenants sont issus du monde professionnel et sont choisis autant pour leurs compétences que pour leurs aptitudes pédagogiques. Leur pratique éprouvée du terrain vient nourrir la pertinence des méthodes et des connaissances transmisses aux stagiaires durant les temps de formation.

Francesco ACERBIS

# Le reportage photographique

Reporter photographe, né en 1969 à Bergame en Italie, et résidant à Paris, Francesco Acerbis rejoint l’agence Editing à Paris en 2002. En 2007, il participe au lancement de la maison de photographes Signatures, dont il est un des auteurs. Ses images sont également diffusées par l’agence Corbis. Son travail sur la situation des réfugiés dans les Balkans (Slovénie, Bosnie, Albanie, Kosovo et Serbie) a été l’occasion de plusieurs expositions en France et en Italie. En 1997, Il s’engage pour l’Hôpital Kocevo à Sarajevo en publiant « La sospensione dell’anima », un livre sur la situation d’après-guerre en Bosnie. Auteur de la série « Les Villes invisibles », Francesco Acerbis croise littérature et photographie sur les traces du roman éponyme d’Italo Calvino qui nous fait voyager à travers cinquante cinq villes imaginaires aux prénoms féminins, regroupées par thèmes. D’origine italienne, Francesco a reconnu et photographié dans Paris, sa ville d’adoption, onze des villes décrites par l’écrivain. Site web : http://www.francescoacerbis.com

Formé à la Sociologie et aux Arts Plastiques, Jorge Alvarez s’oriente d’abord vers le dessin et le graphisme avant de choisir définitivement la photographie en 1985. Impliqué en qualité de professionnel de l’image, il intègre, dès 1996, une organisation professionnelle et s’attelle à la défense des droits des artistes-auteurs. Conférencier, enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière durant sept ans, ancien administrateur de l’AGESSA, ancien président de la Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe (SAIF), Jorge ALVAREZ IBERLUCEA est le conseiller juridique du Syndicat National des Photographes (SNP). Il représente actuellement les auteurs-photographes auprès du Ministère de la Culture dans toutes les instances de concertation. Site web : www.jorgealvarez.fr

Auteur photographe, né en 1969, Jean-André Bertozzi est diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie à Arles.
Il est spécialisé dans la photographie de studio et de muséologie. Il travaille pour de nombreuses institutions muséales et patrimoniales (Musée de Bastia, DRAC PACA, Musée d’Aleria, UNECO, WMF…), et une partie de ses travaux personnels est réalisée en studio (Objets, ressorts poétiques, dystopies végétales).
Il poursuit une recherche artistique sur ce qu’il nomme « le documentaire poétique ».  Multipliant les séries d’images, il s’attache à trouver, dans le proche ou le lointain, cette poésie qui se cache dans la banalité du quotidien. Pour lui, la photographie sert à se mettre en dehors du temps, pour reconsidérer l’espace.

Il signe par ailleurs le film documentaire « La traversée Mocky », dernier entretien avec le réalisateur Jean-Pierre Mocky avant sa disparition.

Il est représenté par la galerie « Vraies Rêves » à Lyon. Ses images sont régulièrement publiées dans des catalogues d’exposition ou des ouvrages monographiques (éditions Actes sud, éditions Thierry Magnier…). Depuis plus de quinze ans, il participe à de nombreuses expositions en France et à l’étranger.

Né en 1968, David Brunel vit et travaille entre Arles et Amsterdam. Docteur en philosophie esthétique et études psychanalytiques, écrivain, photographe, chercheur associé au Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences Humaines et Sociales de Montpellier (CRISES), qualifié Maître de conférences (18ème section), il dispense des charges de cours en philosophie esthétique, histoire de l’art, histoire de la photographie, cinéma, analyse critique, à Aix-Marseille Université (Arts plastiques), à l’université Paul Valéry Montpellier III (Licence Cinéma et Master Philosophie Esthétique), à l’Ecole des Nouvelles Images (Avignon), à l’Ecole Supérieure de réalisation numérique MoPA (Arles) et pour la Formation Continue de l’École nationale supérieure de la photographie (Arles). Il intervient régulièrement dans diverses écoles d’art, Fondations, Institutions culturelles (conférencier régulier à la Fondation Vincent van Gogh — Arles). En amont de ses études universitaires, il a été formé à la photographie dans l’école de Serge Gal, Image Ouverte, lieu d’enseignement qu’il a par la suite intégré comme intervenant et responsable pédagogique. Que ses préoccupations de recherche soient d’ordre critique, poétique, ou photographique (conférences, publications, expositions), elles restent animées par la vaste question de la représentation (autant du côté créateur que du côté regardeur).
Caroline Chevalier est née à Grenoble en 1978. Après des études d’Histoire de l’Art elle entre à l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles (diplômée en 2006). Elle partage son temps entre son travail artistique et son travail de photographe indépendante : comme portraitiste pour la presse nationale (Le Monde, Télérama), en réalisant des commandes en communication d’entreprises, mode et architecture, et comme enseignante en formation continue à l’École nationale supérieure de la photographie. En 2008, elle expose la série Frail Heroines à la galerie du Château d’Eau de Toulouse, sa première exposition personnelle. Elle participe ensuite à de nombreuses expositions collectives en France et à l’étranger, notamment en Russie en 2010 pour la biennale de la photographie à Moscou. En 2019 elle était en résidence d’artiste à Phnom Penh à l’Institut Français du Cambodge. Caroline Chevalier interroge le paysage et le portrait, dans son travail les deux cohabitent pour créer une forme de récit photographique proche du Haïku. ”Mon travail est une histoire de peau. Tout devient alors potentiellement sensible. Comme si la photographie était un épiderme. La lumière est nécessaire et inhérente à l’image, elle créé l’événement. Elle fait, ici entrevoir, là disparaître. Elle génère un rythme, un lux, comme une respiration. Mes images sont le résultat d’une errance, d’une attente contemplative et habitée. Le temps y est comme un passage, une transformation, une mue, saisir une épaisseur dans le temps. Il y a aussi l’urgence de saisir l’impermanence, saisir une présence, une vibration, une respiration, la possibilité d’un vacillement, d’une grâce, d’un silence – silence bruissant. Et toujours cette temporalité très lente. C’est un travail sur l’éphémère. Une poétique du chuchotement.
Sébastien Claude encadre la formation de sensibilisation aux contraintes du web. Cours théoriques et pratiques, premiers pas de la conception de portfolios en ligne. De formation artistique en Art et Communication , il est Graphiste et Webdesigner indépendant. Son travail s’oriente sur une communication globale aux entreprises. Créateur d’identités visuelles, de graphismes multimédias et facilitateur de développement de projets, il apporte cohérence et impact à la communication de ses clients. Il intervient depuis plusieurs années à l’ENSP, accompagne les participants aux développement de leur identité sur le web, à la diffusion et à la visibilité de leurs portfolios. Formation : Diplômé de l’école des Beaux Arts /option Communication

Christophe DABADIE

# Le portfolio numérique avec InDesign®
→ # Photoshop® : applications professionnels

Christophe Dabadie est graphiste indépendant, formateur certifié expert par ADOBE®, il est gérant de la société «dites voir!» studio graphique & solutions pré-presse à Aigues-Mortes. En tant que formateur, il intervient notamment auprès de IMAGE (Nîmes), M2I (Marseille-Paris-Lille), et le CCI de Nîmes. Site Web : http://www.ditesvoir.fr

Eric DELAMARRE

# Photographe indépendant : statut et activités

Après un diplôme de Gobelins l’école de l’image, Eric Delamarre débute comme assistant et opérateur, puis suivront quatre années comme responsable studio et photographe dans une agence de publicité spécialisée « BtoB », et en 1981, déclaration d’activité de photographe indépendant. Après 7 ans d’indépendance, il créera avec Michel LEPRETRE, la société Parallaxe Production dont il sera le gérant. (Prises de vue et production pour la publicité et le catalogue) après quoi il reprendra en 1996 son activité d’auteur indépendant. Depuis 1995, il est formateur sur les droits et la gestion d’une activité d’auteur dans plusieurs écoles de photographies aussi bien en formation initiale que continue. En 2009 sors la première édition de photographe indépendant chez Eyrolles, en même temps qu’il monte une activité de conseil en gestion. Puis sortiront « Les tarifs et le devis du photographe » et « expos photo, festivals, livres » A ce jour il continue à mener en parallèle ses activités d’auteur, conseil, formateur et conférencier.

Frédérique GAILLARD

# Valorisation des fonds photographiques

Frédérique Gaillard est responsable des collections photographiques du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse. Docteure en arts plastiques et photographie, ses recherches couvrent les champs du photojournalisme et des pratiques artistiques qui réinterrogent le journalisme. Son intervention portera plus précisément sur les problématiques d’indexation, de gestion des images numériques, les bases de données, la conservation pérenne des données numériques et sur les métadonnées. http://www.museum.toulouse.fr

Marion GAMBIN

# Le portrait de presse

Pablo Guidali partage son temps entre son travail artistique et l’enseignement de la photographie. Spécialisé en tirage et développement argentique, noir et blanc et couleur, il a travaillé notamment pendant deux années au laboratoire argentique de l’ENSP et a intégré l’équipe des formateurs de la Formation Continue en 2011. Pablo Guidali est auteur de plusieurs monographies (Fiesta y la mar en coche – Éditions CdF 2011, BEBA – Éditions CdF 2013, MAD #1 – Éditions Sardina Negra 2014), et il est membre fondateur des éditions Sardina Negra. Son travail est exposé régulièrement en Europe comme en Amérique Latine. En 2013 Pablo Guidali à été nommé membre artiste de l’Académie de France en Espagne – Bourse Casa de Velázquez pour l’année 2013-2014. Formation : diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie. Site web : http://www.pabloguidali.com/

Marie HERBRETEAU

# De la prise de vue à Photoshop® : optimiser son flux de travail
→ # Photoshop® : applications professionnels

Marie Herbreteau est graphiste, maquettiste spécialisée dans le livre numérique, webmaster, et formatrice. Elle a commencé par parcourir la France pour former les centres de formation et les revendeurs Apple à la toute première version de Photoshop® et d’Illustrator®. Après six années à l’étranger en tant que graphiste, elle a repris l’enseignement aux Gobelins, dans les groupes de Presse et les agences de communication auprès de Pyramyd, dans les maisons d’édition auprès de l’Asfored, et enfin à l’ENSP. Site web : www.marieherbreteau.com

Après des études d’histoire et de cinéma à la Sorbonne, Leslie Lagier devient première assistante de réalisation. Puis elle s’oriente vers le montage de films documentaires et de films musicaux.
Parallèlement à ces collaborations artistiques, Leslie réalise des films depuis une douzaine d’années. Ses films, documentaires ou fictions, s’intéressent en particulier aux lieux, à leurs histoires intimes ou collectives, aux manières de les habiter, aux rapports qui se nouent avec ceux qui, morts ou vivants, les investissent. La mémoire, la trace, le deuil et l’articulation de ces thèmes avec le paysage sont au cœur de son travail.
Aimant modeler la matière de ses films, Leslie en signe parfois l’image et souvent le montage.

Ses films ont été sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux : Belfort, Lussas,
Amsterdam, Rhode Island, Brive, Camden, Clermont-Ferrand, Tampere, Tromsø, Pantin,
Londres, etc.

Leslie est également intervenante réalisatrice pour la Cinémathèque Française et a été lectrice de scénarii pour le CNC.

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Après des études d’histoire et de cinéma à la Sorbonne, Leslie Lagier devient première assistante de réalisation. Puis elle s’oriente vers le montage de films documentaires et de films musicaux.
Parallèlement à ces collaborations artistiques, Leslie réalise des films depuis une douzaine d’années. Ses films, documentaires ou fictions, s’intéressent en particulier aux lieux, à leurs histoires intimes ou collectives, aux manières de les habiter, aux rapports qui se nouent avec ceux qui, morts ou vivants, les investissent. La mémoire, la trace, le deuil et l’articulation de ces thèmes avec le paysage sont au cœur de son travail.
Aimant modeler la matière de ses films, Leslie en signe parfois l’image et souvent le montage.

Ses films ont été sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux : Belfort, Lussas,
Amsterdam, Rhode Island, Brive, Camden, Clermont-Ferrand, Tampere, Tromsø, Pantin,
Londres, etc.

Leslie est également intervenante réalisatrice pour la Cinémathèque Française et a été lectrice de scénarii pour le CNC.

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Thomas Lallier intervient dans les formations dédiées à la vidéo. Réalisateur, directeur de la photographie et chef-monteur : la complémentarité de savoir-faire techniques et artistiques, l’expertise de la chaîne de production tout autant que la volonté d’adosser des intuitions visuelles à des intentions narratives caractérisent son approche et son parcours professionnel. En tant que directeur de la photographie, Thomas Lallier travaille sur des films documentaires, des œuvres de fiction, des captations musicales mais aussi des projets muséographiques, aux côtés de réalisateurs et de scénographes. Sa culture visuelle éclectique l’a aussi mené à collaborer aux projets artistiques de personnalités d’horizons divers (Stéphane Couturier, Jean-Michel Alberola, Yves Gellie, Danielle Arbid…). En tant que réalisateur, il travaille essentiellement sur des formes documentaires de durées et d’inspirations très différentes, tout en expérimentant des formes délinéarisées telles que le webdocumentaire. Ses films sont diffusés tant à la télévision (Arte, France O) qu’en festivals en France et à l’étranger (Clermont-Ferrand, Varsovie, Sofia, Leeds, Palerme, Vienne…). Depuis une dizaine d’années, au sein de diverses structures de formation, Thomas transmet ses connaissances sur les logiciels de montage et la prise de vue en vidéo numérique.
Historienne de la photographie et commissaire d’exposition, Luce Lebart a rejoint la collection Archive of Modern Conflict au printemps 2018. Auparavant elle a dirigé l’Institut Canadien de la Photographie du Musée des Beaux-Arts du Canada à Ottawa après avoir été directrice des collections de la Société française de photographie à Paris et responsable des fonds figurés aux Archives départementales de l’Hérault. Elle a écrit plusieurs livres. Parmi les plus récents Inventions 1915-1938 (RVB-Books et CNRS), Gold and Silver (RVB BOOKS, 2018), Les grands Photographes du XXe siècle (Larousse, 2017), Lady Liberty (Le Seuil, 2016) et Les Silences d’Atget (Textuel, 2015). Elle est aussi l’auteur de photobooks tels Mold is Beautiful (Poursuite, 2015) et Tâches et traces (Diaphane, 2015). Son domaine de recherches privilégié est l’archive et l’histoire des techniques et des collections et sur la photographie scientifique et documentaire:  photographie scientifique, forensique, météorologique, l’histoire des techniques et des procédés photographiques. Depuis 2012 elle a été commissaire d’une vingtaine d’expositions de photographies, principalement fondées sur des archives, dont cinq présentées aux Rencontres internationale de la photographie d’Arles et d’autres aux Pays-Bas, en Italie, au Mexique, au Canada ou encore en Angleterre et en Chine. Co-dirigé avec Marie Robert, son dernier chantier, Une histoire mondiale des femmes photographes (Textuel, Novembre 2020) est un ouvrage collectif regroupant 160 autrices du monde entier. • Formation : Diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie, master 2 de l’Université Paris 8 (Esthétique et Arts Plastiques) et master 2 de l’Université Paris I (Histoire de l’art) • Site web : Luce Lebart

Laure LEDOUX

# Le Portrait

Née en 1986, Laure Ledoux vit et travaille à Paris. Elle a étudié à l’École Supérieure d’Art et Céramique de Tarbes et est diplômée de l’École Européenne Supérieure de l’Image de Poitiers en 2008 et de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2012.
 
Son travail plastique se déploie à travers la pratique du portrait photographique. Sa relation à la photographie est tactile, particulièrement ancrée dans son attrait pour la matière et la matérialité dans toutes les étapes de construction des images.
Plus qu’à la traduction identitaire d’un modèle, Laure s’intéresse au corps du modèle et plus spécifiquement à son dépassement, à ses potentielles résistances.
Elle fait appel très régulièrement à des sportifs ou des gens qui repoussent les limites du corps. Lors d’un état d’entre-deux, post-effort, le corps mis en présence est ré-interrogé et nous propose un autre espace à inventer, à conquérir.
 
Son travail a pu bénéficier de prix tels que la Bourse d’Aide à la Création des Hauts-de-France. Laure a été invitée en résidence au Centre Art et Photographie de Lectoure, a résidé à la Cité Internationale des Arts à Paris, à l’Université de Haute Alsace et la Kunsthalle de Mulhouse ainsi qu’au Centre d’art contemporain de Pontmain. Sa présence dans d’autres lieux de création plus ou moins atypiques tel que des lycées, collèges ou maisons d’arrêt lui ont permis de créer avec les jeunes gens de ces établissements.
Elle est actuellement en résidence à La Capsule au Bourget et à la Villa Pérochon de Niort.
 

Sunghee LEE

# Photoshop® : du fichier à l’impression

Né à Busan (Corée) en 1974, Sunghee Lee est photographe auteur et chef d’entreprise. Diplômé de l’ENSP en 2005, il poursuit en parallèle une carrière d’auteur photographe et de technicien spécialisé en impression numérique Fine-Art et numérisation. Professionnellement, il participe au développement du laboratoire Voies-off entre 2009 et 2012. En 2012 il crée l’entreprise Atelier SHL et collabore avec des partenaires tels que la galerie Agnès B, Actes Sud, Le BAL, CPIF, MP013 ou le new-York Times magazine.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
Cette formule résume pour Robin Lopvet toute la création artistique.
Tout ce qu’il fait se rapproche d’une immense et sérieuse parodie, sans cynisme.
Le monde est plein de formes et de matériaux pour récupérer, transformer, détourner.
Il suffit de se baisser pour les ramasser, de les démonter, de les bricoler et de les remonter.
Nous sommes devenus des couteaux suisses, des boîtes à outils.
Quel que soit le support, le processus reste le même.

Né en 1990 dans les Vosges, Robin Lopvet est un artiste plasticien multimédia travaillant sur les question des jeux de langage, d’économie de la récupération, de la parodie, du bricolage et du ludique. Pratiquant la retouche numérique depuis une vingtaine d’années, il fait partie de cette vague post-photographique qui revendique une retouche assumée, visible, ramenant un geste pictural dans des pratiques numériques.

Il vit et travaille sur Internet.

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Delphine MANJARD

# Le portrait

Photographe professionnel, Geoffroy Mathieu partage son temps entre un travail artistique qu’il développe au travers de livres ou d’expositions et un travail de photographe indépendant : comme portraitiste pour la presse nationale (Le Monde, L’express, l’Usine Nouvelle…), réalisant des reportages pour des agences de communication d’entreprise (L’Agence, Verbe, Publicorp, Textuel…), menant des observatoires photographiques du paysage pour des Parc Naturels Régionaux (Ardèche, Narbonnaise), réalisant des commandes de maisons d’éditions (Autrement)… Membre de l’association LES PANORAMISTES qui regroupe des photographes de paysage et une spécialiste du développement rural en vue de mener des travaux tel que des Observatoires Photographiques du Paysage et plus globalement une réflexion sur le paysage. Formation : diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie. Site web : http://geoffroymathieu.com/

Photographe diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie à Arles, Jonathan Mourglia est originaire des Hautes-Alpes et ce sont ces territoires qu’il explore à travers ses photographies. Attentif à l’évolution du milieu alpin et en particulier de la haute montagne, il cherche à photographier ces espaces pour donner à voir les temporalités diverses qui les parcourent.
Ces paysages sont des lieux en mutation qui appellent de nouvelles manières de les parcourir et de les regarder. Le travail à la chambre argentique permet d’affirmer ce temps long, cette attention d’un regard porté sur ces lieux.

Ses travaux photographiques ont été exposées à Arles, Montpellier, Grenoble ou encore Embrun.En parallèle de sa pratique artistique, Jonathan est formateur pour la Formation Professionnelle de l’ENSP, où il intervient également dans le cadre du Master. Il enseigne également la photographie aux Beaux-arts de Nîmes ainsi qu’en classe préparatoire.

Site internet 
Instagram

Annabelle OLIVEIRA

# Les réseaux sociaux pour les photographes : enjeux et stratégies 

Annabelle Oliveira est consultante en communication. Elle assure notamment la communication de projets d’expositions, travaille sur la stratégie de communication et événementielle du Marché Dauphine aux Puces de Paris Saint-Ouen, a en charge la communication digitale de plusieurs clients.

Après huit ans au Centre national des arts plastiques en tant qu’adjointe à la responsable de la communication, de l’information et des ressources aux professionnels, elle intervient dans des centres d’art sur des questions professionnelles sur l’activité d’artiste plasticien et elle est aussi responsable d’un module de communication dispensé à l’Université de Lille.

Magali PAULIN

# La commande photographique

Né en 1980 dans la Drôme, et après des études de Lettres Modernes, Gilles Pourtier suit à Nancy la formation du Centre Européen de Recherche et de Formation aux Arts Verriers (CERFAV) qui l’amènera à travailler quatre années durant à Londres au Surrey Institute of Art and Design University College. En 2006, il entre à l’École nationale supérieure de la photographie à Arles (ENSP) d’où il sort diplômé en 2009, année à laquelle il participe à l’exposition Une attention particulière pendant les Rencontres Internationales de la Photographie. Au cours de ses trois années d’études à Arles, il développe un travail personnel alliant photographie, sculpture et dessin. Il édite sa première publication dédiée à la série photographique Les voleurs, en 2011 avec les éditions Marguerite Waknine (Angoulême). Installé depuis 2009 à Marseille, résident des ateliers de la Ville de Marseille de 2014 à 2016, ses travaux photographiques ont été présentés aux ateliers de l’Image (2014), à La Compagnie (2011) mais également à Glassbox et au BAL (2012) et plus récemment à l’Escaut (Bruxelles, 2016).

Jean-François VIBERT

# Lightroom® classic

Jean-François Vibert débute sa carrière de journaliste en 1991 dans la presse magazine, parallèlement à ses études à l’Ecole Normale Supérieure, où il étudie l’Histoire de l’Art, le Design, le Graphisme, la Photo et la PAO. Travaillant exclusivement en numérique dès ses prémisses en 2001, il a accumulé une précieuse expérience de terrain dans ce domaine, ainsi qu’une irremplaçable expérience pédagogique, puisque dès 2001 il est sollicité pour enseigner la photo numérique dans des écoles de journaliste. Aujourd’hui, il partage son temps entre reportages, rédaction d’ouvrages pratiques sur la photo (Micro Application, Dunod) et stages de formation qu’il anime auprès de photographes indépendant, d’entreprises et d’instituts de formation (Nikon School et Pyramyd). Sites web : http://www.vibertphoto.com http://www.macandphoto.com/ http://actionreporter.com/